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BAT MITZVAH



Le dictionnaire du mariage : BAT MITZVAH

La Bat Mitzvah, aussi appelée communion juive, est le pendant féminin de la Bar Mitzvah, à savoir une cérémonie de confirmation religieuse, par laquelle la jeune fille juive marque sa majorité religieuse, en principe à 12 ans.

Le terme signifie littéralement « fille du commandement ». Quand elle est célébrée, la Bat Mitsva est, après le mariage toutefois, l'un des principaux « rites de passage » religieux dans la vie d'une femme juive. Cependant la majorité religieuse des filles n'est célébrée par un office que depuis peu, et avant tout dans le judaïsme non-orthodoxe. Les formes de la cérémonie sont moins fixées par la tradition que pour les garçons.

La Bar Mitsva s'est progressivement propagée au Moyen Âge, mais la Bat Mitsva n'a commencé à se diffuser (aux États-Unis d'abord) seulement dans les années 1950. La première cérémonie de Bat Mitsvah est celle de la fille du rabbin Mordeccai Kaplan (fondateur du courant reconstructionniste) aux États-Unis dans les années 1930. Dans le Judaïsme libéral ou « réformé » (Allemagne, Etats-Unis...) ainsi que dans le judaïsme consistorial français, elle avait été précédée au XIXe siècle par une « confirmation », un peu sur le modèle chrétien.

À 12 ans (chez les orthodoxes), les jeunes filles deviennent responsables religieusement (cependant, les commandements religieux ou mitsvot qui s'appliquent aux filles ne sont pas identiques aux garçons). Toutefois, les jeunes filles ne montent pas à la Torah (par exemple c'est leur père qui sera appelé à la Torah pour y prononcer une bénédiction) : la fête est essentiellement privée.

La situation est différente dans le Mouvement Massorti et chez les libéraux où la Bat Mitsva est à peu près semblable à la Bar Mitsva (sauf que les jeunes filles ne portent pas la kippa et les tefilin), la jeune fille peut monter à la Torah. Il n'y a donc que dans ces synagogues que la Bat Mitsvah est rigoureusement l'équivalent féminin de la Bar Mitsvah : la jeune fille dirige en partie l'office, ne lit pas dans la Torah, fait un discours (dracha).

Dans le judaïsme orthodoxe, où les femmes ne montent pas à la Torah et où elles sont séparées des hommes, la célébration est très variable : pas de cérémonie du tout, cérémonie strictement familiale, cérémonie communautaire mais pas dans la synagogue elle-même, ou bien comme cela se faisait dans la Grande Synagogue de Bruxelles, un jour de semaine et non le Shabbat.



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